Comme le précise Guy Hascoët, secrétaire d'Etat à l'économie solidaire, dans le compte-rendu analytique de la 1ère séance : 'La SCIC présente des spécificités par rapport au statut général de la coopération. Il en est ainsi de sa finalité altruiste : elle se distingue d'une coopérative classique en ce que son but n'est pas seulement la satisfaction de ses propres adhérents ou associés, mais celle d'un plus large public. Elle doit être régie par des règles spécifiques d'organisation et de fonctionnement visant à instaurer une nouvelle logique de partenariat entre usagers, bénévoles, salariés et financeurs. Collectivités locales et entreprises privées peuvent en être membres. Ces sociétés donneront naissance au multisociétariat. Il s'agira de combiner des ressources publiques et privées en faveur d'initiatives économiques et citoyennes.'